FKDéesse

         Depuis quelques temps, il y a cette fille que je croise régulièrement, on fréquente les mêmes rassemblements, les mêmes évènements mais on ne se connaît pas. Mon regard s’est accroché à elle dès la première fois et il y avait de quoi. Elle ne dépassait pas un mètre 70, teint clair, petit air innocent, allure fière, toujours tirée à quatre épingles, elle traînait toujours derrière elle ce parfum agréable et tout à fait particulier qui courtisait mon odorat. M toujou pran feeling nan gade l, les jolies femmes attirent le regard, on le sait tous. Il nous arrivait de nous saluer. On s’arrêtait aux formules d’usage, lançant à la volée des « bonjour ! ça va ? », répondant au « bonjour », ignorant le « Ça va ». Je me suis dit que j’allais garder cette ligne là. M pa oblije rive sou tout fi m twouve ki enteresan. Parfois on puise tout le plaisir à rester en retrait et jouir de ses yeux.

        Men yon lè, m ale nan yon maryaj epi nou kwaze. Elle était très belle et non accompagnée. M pa janm wè l ak moun bizarrement. Je parlais à quelqu'un qu'elle connaissait apparemment, elle s'approcha puis elle me tendit son portable et dit :" je peux avoir ton numéro?" M reponn wi rapid, si l pa gen pou l ban m, li gen pou l di m. M fin ekri numéro a epi montre l ki non m mete pou l anrejistre l li menm. Je ne lui ai pas demandé le sien, m konn li t ap ekri m kanmèm... C'est ce qu'elle avait fait en arrivant chez elle. Un message avec une photo d'elle "hi!! c'est moi Mia". M anrejistre nimewo a epi nou kòmanse pale.                Il fallait qu'on fasse connaissance, je ne savais rien d'elle à part qu'elle était plutôt mignonne. Ce que j'ai tout de suite aimé c'est le fait qu'elle est du genre à aller droit au but. Li pa nan "zuzu", elle est directe comme un coup de poing dans la figure. On faisait la conversation comme deux personnes qui se cherchaient; jan moun yo konn di a: m ap met may l'ap met pyèj et vice versa. On évoquait nos goûts et nos préférences lorsqu'elle me dit qu'elle aime bien s'envoyer en l'air, c'est trop bon. Qui n'aime pas prendre son pied, se faire du bien? Levez la main... Partez et ne revenez jamais, vous n'êtes pas digne de me lire!! Bref!! Et bien moi aussi, j'adore ça. On a parlé de nos positions sexuelles préférées, de nos fantasmes et meilleures expériences illustrations à l'appui. J'ai pris le soin de ne pas lui demander si elle avait ou non un copain, car je crois que c'est une question piège. Le lion ne demande pas à l'antilope si elle a une famille et des amis, il la mange un point c'est tout.

Je lui ai raconté l’une de mes expériences et elle était comme tombée des nues. C’était une histoire de sextape. Les détails la laissaient subjuguée. Se lè sa m deside tire nan kan an: - Je ne t’imagine pas vivre une scène pareille. - Ah non ? Et pourquoi ? - Tu voudrais la vivre ? - Je crois. - Avè m wi. - Je prends le temps de connaitre quelqu’un avant de coucher avec. - Dis-moi une chose que tu ne connais pas de moi. Elle a ri. Un bon point pour moi. Le rire d’une femme est le seuil de toutes les possibilités.

J’avais l’impression d’avoir le plein contrôle. On continuait nos conversations habituelles sans vraiment revenir sur le sujet. Alors un soir qu’on parlait du temps qu’il faisait et des banalités de toutes sortes, elle m’envoya un message plutôt inattendu. - Je veux bien coucher avec toi!

Enfin! La victoire était presqu'acquise. Yon fi m te dezire a tout fòs mwen te dakò banm vizite jaden li. Je venais de gagner à la lotterie. M reponn: -Bien tenté mais je ne suis pas un garçon facile. -Arrête! W ap fè m timid. -On met ça pour quel jour? -Je te laisse décider. Donne-moi le jour et l'heure et je débarque. Ma première réflexion était de le faire le lendemain même mais ce n'était pas possible. On est tous les deux très pris, se pandan weekend pou nou ta wè. Epi, j'ai appris malgré moi que les femmes ont tendance à changer d'avis assez rapidement sur ce genre de chose. Depi fè a cho, tou bat li. M konn gen randevou, moun nan chanje ide epi l pa menm mete m okouran, sa nève m... Je n'allais pas laisser passer cette chance. M fè tout preparatif epi m ba li randevou nan yon otèl pa lwen kote nou rete. N ap rankontre anndan l. Jou a rive, m leve prepare m epi ale. Elle était là avant moi, on s'est enregistré puis on s'est rendu à notre chambre. Lè m rive m mete m alèz, retire tenis nan pye m epi chita sou kabann nan. M rale yon souf: - Anfen!!! Le jour que j'attendais est arrivé - Ou pat ka tann ankò? - non... approche!!

Elle se mit debout et vint me rejoindre. Tèt mwen kole ak vant li, m leve tèt mwen gade l epi kòmanse pase men m sou li epi l di "attends !! Banm di sè m nan kote m ye". M kite l ale, li deplase al sou lòt pwent kabann nan. Li fin voye mesaj la epi yon apèl monte tousuit, li te dire 2 minit. Lè l fini, li depoze telefòn nan nan valiz li. Li pwoche pi pre m... mwen m kòmanse fè la konvèsasyon, m ap atake labouyi a sou kote avan m manje l. Elle me regardait parler, et me répondait en monosyllabes quand soudain elle fondit sur moi comme un aigle sur une souris. Se kòmsi li te anvi di m se pa konferans deba m vin fè la a. Li atrap bouch mwen pou l manje l tankou moun ki pa wè vyann lontan. Janm renmen bo, m t ap viv, li pa lage bouch mwen yon segonn. Je pouvais sentir sa respiration changer de rythme. Mes mains ont glissé sous son maillot à la rencontre de sa peau. Nou pa rann nou kont lè n dezabiye. Elle portait un ensemble de sous-vêtement noir qui seyait à merveille avec son teint. Son corps était d’une perfection à couper le souffle. Juste assez ronde, sans boursouflure et très ferme.

La nourriture était servie; se foure kiyè, pran. Elle avait un beau ventre, se la m kòmanse... yon bizou agoch, yon bizou adwat, m ap monte jouk m rive nan bouch li. Li pase men nan kou m pou rale m sou li. Li te anvi m menm jan m anvi l, je l pat sot sou mwen. Menm wout m te fè pou m monte a, m pran l pou m desann. Lang mwen ap fè "S" bouch ap mete so. M rive pi lwen fwa sa a m gentan rive nan kuis, m leve yon pye mete sou zepòl mwen epi m bo janm li. C'était fascinant comment elle ne me quittait pas des yeux, son regard me traversait le corps comme une longue aiguille. M atrap anch li pou m retire tout sa ki p ap itil nan moman an, bye culotte, au revoir soutien-gorge... madame était nue comme un ver. Epi m remonte, bouch mwen al fè konesans ak afè l. De pous mwen ak endèks mwen pran tete l yo an otaj. Elle adorait ce que je lui faisais, ça se sentait à la manière dont elle me tenait la tête et s'agrippait au drap.

Elle a une belle chatte, avec un clitoris un peu développé, ça se voit qu'elle sait se donner du plaisir. Et je prends goût à la caresser de ma langue. Yon moman, m pase menm anba dèyè l pou monte l nan bouch mwen, tankou m t ap manje yon tranch melon. Elle prenait son pied. On a inversé les rôles peu après, j'étais spectateur et elle actrice. Li atrap mikwo m pou l pran lapawòl, zong li te byen fèt, li te mete yon kitèks nwa kou lank. Li mete l nan bouch li pandan l ap gade m, epi l kòmanse. m santi m byen. Elle me pompait avec maestria. M pa pèdi tan, valiz mwen te sou kabann nan, m pran yon kapòt ladann, mete l epi nou pran wout plezi a. Elle me serrait fort. Li bo m ak pasyon. Ses ongles me déchiraient le corps, elle était comme possédée d'un démon. M te renmen sa... elle se donnait entièrement. Li vini. Mais on a continué en changeant de position. Le cul en l'air, la tête enfoncée dans le lit: parfait!! Personne avant elle n'avait proposé un tel show.. - demande moi ce que tu veux et comment tu le veux lui dis-je - ou mèt fè sa w vle avè m - m vle w vini valè fwa w vle!! Elle savait comment atteindre l'orgasme et je voulais qu'elle se sente bien. Encore une fois, il fallait changer de position, je me mis sur le dos et elle, elle était sur moi.

Je n'osais pas lui demander pourquoi elle me fixait de la sorte, les femmes ferment les yeux dans ces moments là mais nous, elle et moi, on s'affrontait du regard!! Je lui tenais une hanche d'une main et caressais un sein de l'autre alors qu'elle ondulait avec grâce sur mon membre fièrement dressé. Elle est venue une deuxième fois, li tonbe sou mwen en tremblotant!! -se byen bebi!! Sere m... sere m!

Souf li te wo bò kou m, li mòde m.

Nou vire, ma queue était toujours à l'intérieur tranquillement. Et on s'embrassait, essouflés!!!

Kite motè yo fè yon ti frèt. -on continue? -oh ke wi Nou rekòmanse bo. On a "fait la brouette" ensuite. J'étais sur mes genoux, ses pieds de chaque côté de mon corps... je lui tendis la main pour qu'elle puisse me rejoindre, ma bite a servi de levier. - kenbe m C'est là qu'elle m a fait un suçon au cou, je l'ai laissé faire. J'ai attrapé ses fesses puis on s'est mis debout sur le lit . Mon pénis toujours dedans, elle a fait un petit mouvement de va et vient puis elle venue une troisième fois. Li grafonyen m pou bon fwa sa a... on s'est recouché en cuillère, ma main dans sa chatte.

Tout moun vini sof mwen. M vle vini tou... Elle connaissait mon point faible, on en avait parlé. Une fois que nou te reprann souf, je me suis mis sur elle, mes mains sur le lit de chaque côté de sa tête, positions push-up, m ap bo l, l ap woule tete m, m pèdi nosyon tan an epi.... m rive Anfen. Ti ponyèt mwen febli, m tonbe sou konn yon sak tè. On était vide d'énergie. Elle s'est couchée un instant, men m ap woule dada l, li leve pou l al nan douch. M kenbe l dèyè kou, yon dènye bo.. - Ou vle al manje? - Non, m ap antre lakay... on ira manger une autre fois. - d'accord... comme tu veux. Je la regardais et on se souriait. Il faut que je la revois, c'est obligé. Kote l sòti?? M vle ankò. C'est une vraie déesse du sexe. On était d’une telle harmonie qu’il n’y avait pas à se demander qui menait la danse. Nos corps se retrouvaient sans effort. Même nos gémissements se concordaient en une musique digne des grands classiques. On arrivait à se guider, sans un mot, et à dévoiler à l’autre les meilleurs coins de plaisir de nos corps.

On est sorti de l'hôtel séparément. Elle, avec un sourire radieux, et moi avec le sentiment du devoir accompli. On en a parlé pendant la soirée, on se félicitait mutuellement. Je lui ai dit qu'il fallait qu'on se revoit. Epi li ekri m - Tu dépasses de loin ce que j'espérais mais cela ne va pas être possible!! - pourquoi? - je suis fiancée, je me marie dans deux semaines... - Kisa? - wi... J’ai pris de l’avance sur mon enterrement de vie de jeune fille. Tu as été à la hauteur, je te jure. Je n’aurais pas pu souhaiter de meilleur dernier coup mais on va s'arrêter là.

M sezi !! Li bon sou mwen... et avec classe!!! Men, Kabrit mwen te gentan pase avan yo fèmen baryè a, m konn gou zèb nan patiraj sa a.

Se mwen ki chante antèman lavi jèn fi l.

Je me suis rendu à son mariage, m t ap tann pè a di kiyès ki pa vle maryaj la fèt pou m kanpe pou m di : "ti madanm sa a plumen m byen plumen avanyè la a epi li ale. Maryaj sa a p ap ka fèt ". Je n'ai rien fait de tout ça. J'ai assisté à la cérémonie en bon enfant. M pat menm ka fache, cette fille est un succube et elle a déposé sa marque sur moi. je l'ai même félicitée, on a échangé un petit sourire.

Yo te jis banm pran 2 kiyè nan yon manje ki pa t pou mwen.

   Il m'arrive de repenser à ces phrases que j’ai entendu je ne sais plus où : "Les premières fois sont très spéciales, elles sont uniques... mais les dernières fois sont incomparables, elles sont magiques. Le problème c'est qu'on ignore que c'est la dernière fois." Une vérité magistralement énoncée, vous ne trouvez pas? Je suis bien placé pour en parler, j’ai vécu une expérience typique de démonstration.