Wakanda for EVA !!!
- Loritz Vernet
- 2 janv. 2019
- 5 min de lecture
Dernière mise à jour : 11 févr. 2019
2h30 de l’après-midi. Je reviens tout juste de l’école et je meurs de faim. Je passe par la porte de l’arrière – elle donne directement sur ma chambre , je balance mon sac-à-dos sur le lit et je fonce droit vers la salle-à-manger.
En moins de deux, je termine mon plat et reviens vers ma chambre. Sak vid pa kanpe, dit-on ? Il faut croire que sak plen pa rete kanpe non plus.
Une fois dans la chambre, j’enlève ma chemise que je place négligemment dans un cintre avant de m’affaler sur le lit. Kabann, me pitit gason w cheri ! Écouteurs bien vissés à mes oreilles, je laissai la musique faire son travail. Je n’eus pas à fixer longtemps le plafond ; mes paupières se sont vite alourdies. Vous connaissez le principe : « Ventre plein, tête ailleurs… Bonjour sommeil ! »
Quand je revins à la réalité, j’avais l’impression d’avoir dormi des heures. Mais un coup d’œil à ma montre m’avait confirmé que je ne me suis assoupi que pendant 30 minutes. Pourtant je me sentais tout plein d’énergie. J’ai un ami qui appelle ce type de Kabicha « sommeil réparateur ». Ben, j’étais tout réparé ! Je saute du lit et file vers la douche. D’un mouvement machinal, je fis pleurer le cyclope. J’avais besoin de me rafraîchir un peu. En revenant vers la chambre, l’écran de mon portable était allumé. La sonnerie était désactivée, et c’était Éva, une bonne amie à moi, qui appelait.
- Lolo, tu vas bien ? M bezwen w. C’est urgent.
- M lakay mwen. Vin non.
- Ok, j’arrive dans 15 minutes.
Un peu étonné, je me suis mis à imaginer pourquoi Eva aurait tant besoin de moi. Je ne me fis pas trop de souci, sachant qu’elle était en route et que j’allais bientôt le savoir. Vingt minutes après, une moto stationna devant la barrière et un toc toc se fit entendre. C’était Éva. Elle est une habituée de la maison. Je la fis passer par la porte arrière et nous nous sommes installés dans ma chambre.
Le meilleur mot pour décrire Éva ? « Énivrante ! » Elle est toujours bien mise, elle dégage une certaine grâce et promène partout un parfum particulier dont elle seule a le secret. Éva transpire la sensualité à des kilomètres. Se retrouver seul avec elle est un risque classé code rouge sur toutes les échelles… Si vous voyez ce que je veux dire. Je pourrais passer la journée à vous parler de son corps mais…

revenons à ce qui nous intéresse. Cet après-midi là, Éva était une vraie bombe humaine. Elle portait des sandales plates, une jupe moulante noire arrivant à mi-cuisse et un maillot blanc au décolleté vertigineux sur lequel était inscrit « Danger ». Nous étions tous deux assis sur le lit. Je faisais de grands efforts pour rester concentré. Elle ne m’avait toujours pas dit l’urgence qui l’a poussée à me rendre visite.
-Alors, Lolo ? Apa w pa di m bòn fèt ?
-Joyeux anniversaire, ma chérie, répondis-je rapidement pour ne pas laisser paraître que je m’intéressais à autre chose que son jour de naissance. Je lui pris la main et y déposai un baiser discret. La jeune dame se leva. Je fis pareil. Elle se dirigea vers la porte qu’elle verrouilla avant de me lancer
- M fache ak menaj mwen jodi a. M vle w fè bagay avè m. Pou m vanje m. Pou m fè misye peye.
Je n’étais pas du tout surpris. Au contraire. Après tout, ce n’est qu’un service comme un autre qu’elle me demande de lui rendre… Elle avait fait pareil pour moi, une fois. Mais ça, c’est une autre histoire que je vous raconterai un jour… ou pas.
Je n’avais pas le temps de respirer qu’elle était déjà devant moi. Elle posa ses lèvres sur les miennes. Son gloss était à saveur de fraises. Mon compagnon explosait de rage dans mon pantalon, mes mains inspectaient minutieusement ce corps qui m’était offert sur un plateau. Je la poussai sur le lit. Elle était chaude comme la braise. Craignant qu’elle ne change d’avis, je refusais de perdre mon temps en préliminaires. Je me mis à genoux, glissai la main sous la petite jupe en quête de son string, et devinez quoi ? Li te vini san pantalèt ! « Mwens traka », je me dis. J’approchai mes lèvres de sa chatte. Sa peau était toute fraîche. Ça se voyait qu’elle venait d’être lavée pour l’occasion. Pas grave, m pral chofe l talè. Sans tarder, la léchouille commença. Je prends toujours plaisir à le faire. Elle s’était rasée de très près. M tonbe woule tete kòmè a pandan m ap manje devan l tankou m te grangou. Li kenbe tèt mwen, l’air de me l’enfoncer dans son entrecuisse. Mon travail était si bien apprécié qu’elle se mit à gouye contre mon visage. Vint le temps où il fallait vraiment mettre la clé dans la serrure… Elle était là pour ça, non ? Je me mis debout, descendis la fermeture-éclair de mon pantalon et liberai le juge. Misye fè de kout tèt PIM ! PIM !
Eva n’était pas du genre zombie. Elle prend des initiatives…. Elle te demande ce que tu veux et s’applique à le faire. Cette fille, c’est un fantasme en chair et en os, vous pouvez me croire ! Le corps, la voix, le rythme, tout y était ! Un rêve, quoi ! Elle avait de longs ongles, bien curés, couverts d’un vernis beige. Quand elle fit glisser ses doigts de mon torse vers mon pantalon, je dus faire pression sur moi pour garder la tête. Elle se leva, attrapa ma flûte et la mit entre ses lèvres. Elle commença à m’interpréter un de ses morceaux et je fermai les yeux. Elle s’arrêta un moment et dit « ou gen kapòt, j’espère ? ».
Le dernier acte allait commencer. Je prends mon sac, en tire un préservatif et le lui tendis. Elle me fixait droit dans les yeux, et de ses dents, ouvrait le cachet avant de me l’enfiler elle-même. Je bandais comme un os. Je la pénétrai le plus doucement possible. Je pris mon temps. Comme si l’éternité m’appartenait. C’est elle qui commença les mouvements de va et vient. À chaque coup de rein, elle poussait un petit cri de plaisir. On s’embrassait, les regards soudés. On était en parfaite harmonie, nos mouvements étaient coordonnés. Sans avertir, je changeai les donnes. Doggy style. Je m’étonnais moi-même. M pa t konn si m te gen tout sa sou mwen. J’étais soudainement une machine sexuelle. Il n’existait que moi et cette paire de fesses bien dodue.
- Ann chanje. Kite m monte sou ou, me dit-elle. J’obéis. Après tout, c’était son coup ! Je me mis sur le dos, et madame me chevaucha. C’était sa position préférée. Je la laissai faire. Ah le pied qu’elle prenait ! Quand je la sentis prête, je me dressai, la serrai dans mes bras de toutes mes forces. Elle continuait à se déhancher. Nou rive ansanm. Haletants, baignés de sueurs, satisfaits.
Après avoir retrouvé nos esprits, on s’embrassa avec fougue comme pour se remercier l’un l’autre. C’était son anniversaire et c’est moi qui avais reçu la surprise. Qui c’est qui a dit que la vengeance est mauvaise ? Il n’y avait rien de mauvais dans ce que je venais de vivre ! Au contraire. Son copain avait « payé ». Et c’est à moi que revenait la monnaie.
Toujours là pour rendre service!!! Wakanda For EVA....

Lol ou fèm AP imajine
C sa Wakanda
C kot istwa pral bel la yo tj kupel pu yap diw a swiv,c sel pati sa mpa renmen😔
👏👏 Bon travay! Mwen ap tann yon lot istwa!
Euhhh Eva pretem plas ou😂😂😂😂
C'est comme si je visionnais la scène.